1 Novembre 2025
Comment l'idéologie et la politique ont dévoyé la science climatique ?
Pour inaugurer le sujet, j'ai choisi quatre citations qui invitent à la réflexion
" La pensée ne doit jamais se soumettre, ni à un dogme, ni à un parti, ni à une passion, ni à un intérêt, ni à une idée préconçue, ni à quoi que ce soit, si ce n'est aux faits eux-mêmes, parce que, pour elle, se soumette, ce serait cesser d’être. »
Henri Poincaré
« Chercher à comprendre, c'est commencer à désobéir »
J M Wyl, écrivain québécois
« Un mensonge suffisamment gros, répété à l’infini, devient une vérité. »
Joseph Goebbels
Je dédie ce travail en priorité à Christine, Audrey, Edouard, Jean Marc, Claude et Eric, qui se reconnaîtront.
(Pour mettre un commentaire, allez à la fin de l'article et clic sur "Commentez cet article".)
Episode I
Préambule/résumé introductif
Au début de mon travail sur le climat, j'avais des doutes quant à la pérennité de nos grands cépages français vis à vis des prévisions alarmantes du réchauffement climatique (RC) anthropique annoncées par la science "officielle" du climat, laquelle est représentée par le Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC), bras armé de l’ONU.
En cause, les Gaz à Effet de Serre (GES) dont le CO2, de loin le plus important. Sa concentration en volume dans l'atmosphère est passée de 0,028% en 1750 à plus de 0,045% à ce jour. Une croissance qui serait concomitante de celle de la température moyenne de la Terre, évaluée depuis 1850 à +1°5 C.
Il nous faut remarquer que le GIEC, dans ses rapports pour parler de la part du CO2 dans l'atmosphère, préfère s'exprimer en "parties par million", soit 450 ppm ; un chiffrage volontairement plus effrayant que 0,045%, soit 4 à 5 molécules pour 10000 de l'atmosphère, ce qui est vraiment insignifiant.
De ce questionnement sur l'avenir climatique est venue ma quête du savoir. Depuis 2022, je me suis immergé dans cette science très complexe du climat passé et futur.
J'ai dû rapidement admettre ne pas avoir rencontré, dans les publications du GIEC, la probité scientifique à laquelle on est en droit de s'attendre. L'idéologie, voire la politique, semblent sous-tendre les productions de cet organisme. Il n'y aurait donc pas lieu d'affirmer que le CO2 est la cause du réchauffement climatique.
Le premier chapitre traite de la Température mondiale du globe terrestre, son Ressenti par les humains et propose une Introduction à la science atmosphérique (dont les flux entrants et sortant de CO2 qui régissent sa concentration), le tout afin de bien prendre conscience de la grande complexité des facteurs relatifs à l'atmosphère. Ne serait-ce que pour l'évaluation de la part du CO2 anthropique et de son éventuelle causalité vis à vis du RC.
On retiendra que la vapeur d’eau constitue entre 0,1% et 5% (0,25% en moyenne) de la masse de l’atmosphère et reste le gaz principal assurant l'effet de serre qui maintient la moyenne de la température terrestre autour de 15°C.
Avec l'épisode consacré à l'Avènement du GIEC, à partir de 1990, nous prendrons conscience de la manière dont la politique environnementale de 195 pays s'est exercée, à la suite de la création par l'ONU de the Intergovernmental Panel on Climate Change, ou IPCC (nous verrons plus loin en quoi sa traduction française "Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat" est dévoyée).
Le GIEC, a priori scientifique mais à coloration politique sinon militante, a pour mission de vérifier l'hypothèse qui consiste à déclarer que l'Homme, par l'entremise du CO2 qu'il produit, est responsable du réchauffement de la planète, constaté du moins en Occident, depuis 2000. A l'exclusion de toute autre cause (terrestre, atmosphérique, océanique et astronomique).
Il est de première importance de signaler que la France s'est autorisée à traduire le mot anglais "panel" signifiant comité, jury, par "experts". Or comme nous le verrons tout du long, le GIEC n'est pas un comité d'experts. A la demande de l'ONU, il a vocation à regrouper et publier dans ses rapports (6 à ce jour, depuis AR1 en 1990 à AR6 en 2023) des études et analyses choisies, provenant exclusivement de scientifiques qui font allégeance à la doxa réchauffiste.
Quant aux scientifiques auxquels le GIEC a confié une mission de contrôle (comme relecteurs des rapports, ou en anglais "reviewers"), s'ils ne sont pas d'accord avec l'orientation réchauffiste des travaux, ils sont invités à se taire ou à démissionner quand ils en ont les moyens et le courage (voir le chapitre "Les défroqués du GIEC").
En amont des rapports, le GIEC organise les Conférences des Parties (CP) annuelles, ou en anglais "Conférences Of parties" (COP) ; elles sont censées faire le point sur les émissions de CO2 et y remédier en encourageant leur réduction de différentes manières.
A cette hypothétique affirmation du Réchauffement Climatique Anthropique (RCA), se sont agrégés les scientifiques décrétés officiels, que nous nommerons écolo-réchauffistes, tant les deux causes se sont réunies dans la convergence des luttes.
Dans le chapitre dédié au Grand Tournant Réchauffiste, nous évoquerons comment le GIEC, qui avait pourtant reconnu dans son premier rapport en 1990 l'innocence du carbone dans le réchauffement climatique, a dû se renier sous la pression politique de l'ONU. Et même - comble de malhonnêteté - annoncer qu'il existe un consensus mondial sur le RC lié aux émissions anthropiques de CO2 et autres GES !
À propos de cette mystification mondiale, un climatosceptique averti écrit "Leur science est une foi, leur GIEC une église, le RCA un dogme, leurs COP des grandes messes."
Dans le chapitre Tout s'accélère avec Al Gore et Greta Thumberg,
nous conterons La sombre histoire "antiscience" de la crosse de hockey de Mann & al., laquelle est suivie par le non moins grave scandale du Climategate.
Par opposition aux écolo-réchauffistes et partageant les doutes inspirés par la conjecture du GIEC, de grands scientifiques mondialement réputés, dénommés climato-sceptiques, s'expriment dans le chapitre
Les scientifiques climatosceptiques de plus en plus nombreux.
Plus de 40 scientifiques dont les Défroqués du GIEC (11), se déclarent contre l'effet réchauffant du CO2, en le démontrant scientifiquement et par l'observation satellitaire.
Pour comprendre le fond du problème, l'Innocence du CO2, nous ferons appel à des scientifiques (dont JM Bonnamy) ayant des connaissances poussées en physique moléculaire et thermodynamique, en mesure d'expliciter le comportement des molécules atmosphériques. Cette science de l'infiniment petit fait partie des fondements de la climatologie ; ce qu'ignore volontairement la science officielle pour les besoins de la cause.
Ainsi est-il proposé une compilation de déclarations et de publications sur le Net ou en librairie.
La rigueur de leurs démonstrations a levé mes doutes et affirmé chez moi la conviction profonde que l’écolo-réchauffisme est une grave imposture, à la fois politique et scientifique, doublée de conséquences économiques désastreuses, surtout aux Etats-Unis, en Europe et plus que tout en France.
D'autres voix scientifiques qui se rebellent contre la doxa du Giec
Des listes recensent dans le monde des milliers de scientifiques voire des dizaines de milliers pour les signataires de la pétition "Global Warnig Pétition Project" signée par 31000 scientifiques, qui s'opposent à la doxa du GIEC.
Le chapitre sur la Modélisation du Climat montre comment le GIEC, grâce à cet outil controversé, minimise ou invalide tous les facteurs naturels susceptibles de changer le climat, au profit d'un seul : le CO2.
Ainsi est-il à même d'introduire dans notre société à partir de projections alarmantes de la croissance des températures par un doublement (1100 ppm) du CO2 d'ici 2100, un catastrophisme endémique véhiculé à l'envi par la complaisance aveugle des médias.
Avec Henri Masson dont ci-dessous le fameux schéma du chaos climatique et JM Bonnamy, nous critiquerons les modèles en général et surtout ceux du GIEC dont les choix des critères sont susceptibles de répondre à l'hypothèse de départ relative au Réchauffement Climatique Anthropique.
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Avec le chapitre nourri, Ecologisme, Terreau du Réchauffisme nous ferons la part belle à l'écologisme punitif - à ne pas assimiler à l'écologie - le berceau autant que le contributeur zélé du réchauffisme.
Nous énumérerons depuis sa naissance ses représentations : politique en France (Les Verts) et à l'échelle de l'Europe, à travers l'école, avec le fidèle écho des médias, au Saint Siège, sans oublier le relai de myriades d'ONG militantes vivant aux crochets des Etats.
Nous citerons ceux qui y ont cru, Les Défroqués de l'Ecologisme Radical ainsi que des scientifiques spécialisés habilités à dénoncer la doxa, les Pourfendeurs de l'Ecologisme Radical, avec la mention de 17 ouvrages dont ceux de Bertrand Alliot, Drieu Godefridi, Jean de Kersavoué, Christian Levêque... et le Pr Eric Verrecchia qui s'oppose à la prétendue disparition de la biodiversité criée par l'écologisme radical et donne son avis de scientifique reconnu sur la régénération permanente des espèces vivantes sur la Terre et dans les océans.
Sans oublier, pour faire digression, le scandale de la loi Duplomb qui a agité en l'été 2025 tous les médias, à cause d'une marche en arrière de l'Etat (Macron) répondant électoralement à la majorité (80%) des agriculteurs favorables à la culture intensive.
Le chapitre sur la Neutralité Carbone rendra compte :
a/ des sources d'émissions mondiales : Chine 30%... Inde 8%... France 0,75% en bon élève grâce à ses centrales atomiques, démontrant que l'économie mondiale est accro aux ressources fossiles.
Samuel Furfari, spécialiste de la géopolitique de l'énergie, révèle qu'en 2024 la production d'énergie (chaleur et électricité) mondiale ressort à 86,6% des énergies fossiles.
b/de l'accession de l'Europe et de la France au net Zéro
. l'instauration du bilan carbone
. le Pacte Pluriannuel National d'Adaptation au Changement Climatique (PPE3) : une adaptation française du Pacte Vert Européen prévoyant les échéances de réductions des émissions
c/des modes de financement de la transition écologique (TE) en France par les consommateurs et les entreprises, à travers
. la Taxe Carbone, soit 44,6 €/t en France (0,1€ en Pologne et 118 € en Suède ), qui rackette chaque Français ;
. le Système d'Echange de Quotas d'Emission (SEQE) pour faire payer les entreprises qui ne réduisent pas leur empreinte Carbone.
À partir de 2005, les activités couvertes par cette législation s’adressent aux producteurs d’énergie, à l’industrie (raffineries, sidérurgie, ciment, verre, papier…) à l’aviation au sein de l’UE, aux compagnies maritimes. Soit 25% des émissions françaises.
L’UE délivre chaque année une quantité de quotas gratuits qui se réduit de plus en plus. Un quota constitue un droit à émettre (polluer) une tonne de CO2 dont la valeur fluctue en fonction du marché et s'évalue autour de 65 €/t.
Les producteurs de CO2 surtout industriels, (bientôt le bâtiment, les transports ...) sont associés à l'effort pour la TE, à travers le SEQE qui incite à investir pour réduire son empreinte carbone ou à payer.
Selon Les Comptes Mondiaux du Carbone, publiés sur le Site de l'Institut de l'Economie pour le Climat (I4CE), le monde compte en 2025, 35 SEQE, couvrant 55% du PIB, 1/3 de la population mondiale et 17% des émissions.
Nous décrirons comment ce marché des quotas a inspiré un vrai business surtout quand l'Etat accorde des crédits carbone si généreusement lesquels sont devenus de plus en plus chers. Nombre d'industriels font des profits considérables en les revendant sans pour cela investir pour faire baisser leurs émissions !
Pour mémoire évoquons la Stratégie ubuesque d'extraction du CO2 de l'atmosphère.
Avec un plaisir cynique, nous rapporterons les fraudes qu'a inspirées le SEQE, comme bien d’autres dont les aides à la rénovation immobilière.
Avec les Flux financiers pour la Transition Ecologique, nous tenterons un inventaire de ce que chaque année l’Europe et la France, dépensent sans pour cela être exhaustif en France, tant la tentative de déclinaison des destinataires de cet argent public est fastidieuse.
Des sommes colossales sont allouées au climat :
- dans le monde, 6000 Mds/an,
- en Europe 1000 Mds/an (futur budget 2026 en augmentation),
- en France, plus de 100 Mds/an (dont 40 venant de l'UE)
Ce financement répond à un millefeuille européen et français absolument vertigineux, par des contributions publiques, privées ou les deux à la fois.
Le chapitre La Guerre des Energies, au sein de l'UE et de la France, sera nourri par la lecture des ouvrages et des nombreux articles de grands spécialistes du sujet dont Fabien Bouglé et Samuel Furfari.
Ce qui nous donnera de développer deux sujets relatifs à l'énergie :
- la montée du nucléaire en France grâce au retournement de notre Président, et en parallèle le combat allemand d'Energiewende contre ce même nucléaire français et en faveur des Energies Renouvelables (EnR).
- les Energies Renouvelables qui prétendent réduire nos émissions.
Après un rappel technique - y compris le black-out espagnol - sur l'éolien et le photovoltaïque, nous en ferons une critique circonstanciée sans oublier la ruine de l'Etat à travers la 3ème Programmation Pluriannuelle Energétique (PPE3) qui vise à la sortie des énergies fossiles et atteindre la neutralité carbone en 2050.
La quête éperdue des métaux critiques et terres rares nécessaires sera envisagée sur les plans géopolitique, écologique et humain.
Le coût de notre électricité, renforcé par le soutien aux EnR prioritaires, laisse imaginer que la France, à l'instar de l'Espagne et du Portugal, serait bien inspirée de quitter l'Europe de l'Energie.
Notre attention se portera nécessairement sur la voiture électrique et les Zones à Faibles Emissions (ZFE).
Avec le chapitre suivant, La contre-attaque des Réchauffistes : l'inaction climatique devant la justice, seront évoquées :
- les condamnations de l'Etat néerlandais, de la firme Shell et de la France (l'Affaire du siècle) à la suite de divers procès intentés surtout par des ONG pour manquement au devoir réchauffiste. Elles montrent que le système est à même de perdurer, si la politique ne s'en empare pas.
- les associations et organisations comme Quota Climat et l'Observatoire des médias sur l'Ecologie, soutenues par l'ARCOM (autorité de régulation de l'information financée par nos impôts), et l'ADEM (Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'Energie), nourrissent depuis longtemps le projet d'infliger des sanctions pécuniaires à ceux qui critiquent le GIEC. Je prends donc le risque de me retrouver rapidement dans la rue ou en cabane !
Cerise sur le gâteau climatique, serait à l'étude par des idéologues zélés du Climat, comme JM Jancovici, un Quota Climat Individuel !
Le chapitre concernant l'Echec de la Neutralité Carbone, projet qui s’avère autant une ineptie scientifique qu'un mythe, puisqu’une majorité de pays n'en ont que faire. Et cela au prix d'une gabegie de milliards dépensés pour rien, sur le dos des contribuables.
LeRetournement Financier du Climat, d'abord aux US, montrera comment les grandes banques sont réservées sur le sujet ou arrêtent de financer le climat. L'Europe et la France, insensibles à l'appel de la science, démontrent jusqu'où l'idéologie peut conduire sur le plan énergétique : à une impasse.
Dans l'avant dernier chapitre, Vérité Scientifique et Consensus, nous rappèlerons que la méthode scientifique ne peut s'autoriser la déclaration d'un consensus si des milliers de scientifiques, voire un seul - cf. Einstein - , ne sont pas d'accord avec la communauté a priori dominante.
Une belle occasion de rappeler que l'histoire des sciences, est riche de manipulations sinon de fraudes scientifiques comparables à celle que le GIEC fait subir au monde ignorant ou complice.
Serions-nous dans une nouvelle Inquisition dont l'échafaud se serait mué en médias militants et en doxa politique ?
Ce qui donne l'occasion de faire un catalogue épistémologique, certes incomplet, du scientisme (fausse science par ignorance, par idéologie, voire les deux à la fois !)
Le dernier chapitre, dans le droit fil de ce qui précède, tentera d'analyser, en matière de climat, Comment l'Idéologie a vaincu la Science, jusqu'à afficher ce consensus scientiste autoproclamé par le GIEC.
Et cela au mépris de milliers de scientifiques dans le monde qui depuis 30 ans réclament haut et fort un débat mais sont combattus, voire discréditer sinon obligés de démissionner de leur poste pour la seule et unique raison qu'il ne sont pas d'accord avec le GIEC .
J'ai eu la grande chance de lire les ouvrages et d'écouter les vidéos (voir infra) du physicien, polytechnicien, J M Bonnamy, de lui soumettre mes écrits afin de ne pas infliger de bêtises à mes lecteurs.
J'ai eu aussi l'opportunité de correspondre avec Claude Duverney, docteur en philosophie, enseignant la philosophie des sciences au Lycée Calvin de Genève, auteur d'une somme qui sera disponible en format PDF à la fin du dernier épisode :
CO2, une Incrimination Politique Délibérée. Chronique d'une Science Ancillaire
J'ai également échangé avec le Pr Eric Verrecchia, géographe-physicien, géologue, ayant enseigné la bio-géochimie à l'Université de Lausanne, pour comprendre que notre biodiversité est loin d'être en danger.
Extrait de sa vidéo (voir infra) Du Mensonge au Suicide
"Il n'y a aucune raison de s'inquiéter : 99,9 % des espèces que la Terre a connues, ont disparu. Avant même que l'homme n'advienne, la Nature s'avère le plus gros extincteur de la vie dans l'histoire de la Terre. Il y a toujours eu disparition, création, adaptation du vivant".
Outre les trois scientifiques sus-cités, voici quelques auteurs, comme Bertrand Alliot, Hacène Arezki, E.G. Beck, John Christy, Roy Clark, Vincent Courtillot, Judith Curry, Paul Deheuvels, Samuel Furfari, Christian Gerondeau, François Gervais, Drieu Godrefridi, Georges Guesken, Herman Harde, Jean de Kersavoué, Steven E Koonin, Emmanuel Lery-Ladurie, Brigitte, Donna Laframboise, Christian Levêque, Richard Lindzen, Itsvan Marko, Henri Masson, Patrick Moore, Michel Negymas, Guillaume Pitron, J C Pont, Olivier Postel Viney, Alain Préat, Remi Prud'homme, Pascal Richet, JP Riou, Benoît Rittaud, Yves Roucaute, Carlo Rubbia, Nicolas Scafetta, Emmanuel Simon, Willie Soon, Roy X. Spencer, Brigitte Van Vliet-Lanoë, Henri Voron... qui m'ont aidé à comprendre des éléments essentiels de cette science aussi nouvelle que complexe, et dont la majorité publie en français. Je recommande vivement de les lire.
La pertinence de cette publication, qui s'inspire au départ de doutes partagés, se trouve renforcée par les sondages sur la question causale du Réchauffement Climatique. Différentes études et sondages montrent que plus de 40% des Français sont climato-sceptiques : ils sont de plus en plus dubitatifs voire totalement opposés à l'oukase du Réchauffement Climatique Anthropique.
Et pourtant la France est un des pays au monde les plus engagés dans le combat contre le CO2 à travers son Ministère de la Transition Ecologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche, d'une rare efficacité. D'abord pour le financement - 100 Mds/an - et pour alimenter, sans relâche via les militants officiels que sont la majorité des organes de presse autant que les ONG, le récit alarmiste écolo-réchauffiste de la cause climatique anthropique.
J'ai cherché à rendre accessible un sujet difficile, la science du Climat, donnant une bibliographie assez large afin de satisfaire la curiosité de ceux qui cherchent à comprendre comment et pourquoi, depuis plus de 30 ans, nous sommes sous l'emprise de ce totalitarisme politico-scientiste du GIEC.
J'ai vu et lu, cités dans le texte, des vidéos en français, des livres publiés ou traduits en français (une cinquantaine) et des centaines d'articles sur Internet publiés ou traduits en français dont je donne les liens pour certains. Tout cela pour compléter ma formation autant que mon propos sur ce sujet aussi difficile que passionnant.
Cette publication d'environ 300 pages (impossible de paginer sur mon blog), livrée par épisodes (1/mois sur un an environ ), invite au doute vis à vis du RCA, sinon à l'opposition, en donnant voix à ces grands scientifiques. Sa longueur n'a d'égal que la complexité de l'emprise mondiale sans précédent exercée par la politique environnementale de 195 pays.
Elle rend nécessaires et néanmoins pertinentes, afin de compléter le savoir climatique, des investigations pour étudier les très nombreuses causes qui depuis les temps les plus reculés, provoquent la modification permanente du climat.
Ainsi les Causes Naturelles des Changements Climatiques, nouveau gros chantier, seront traitées en 2026/2027 dans un prochain opus, livré par épisode sur ce blog. Les facteurs susceptibles de faire varier le climat de la planète seront évaluées en faisant appel à des scientifiques spécialisés,
- facteurs terrestres : les variations de l'albédo* liées à celle des nuages, des glaciers, des forêts ; la bétonisation des villes qui absorbe la chaleur...
- facteurs océaniques : le cycle du carbone, la circulation thermohaline, les fluctuations oscillantes des températures de surface des océans (El Nino, NAO, NPO, ENSO, SO, PDO...)...
- facteurs atmosphériques : la théorie de Svensmark qui lie la formation des nuages à l'activité solaire, les liens de l'atmosphère (dont les vents) avec les océans, la pollution atmosphérique industrielle, volcanique... des particules faisant écran aux rayons infra-rouges entrants...
- facteurs astronomiques : les nombreux cycles auxquels la terre est soumise depuis ses origines, les forces gravitationnelles, magnétiques, cosmiques... exercées par les planètes (le soleil en majesté avec les vents solaires et bien sûr les taches solaires).
Autant de facteurs qui depuis les temps les plus reculés, ont provoqué la modification permanente du climat (voir supra le schéma évocateur d'Henri Masson). Ce qui invalide l’expression "dérèglement climatique" à laquelle nous préférons "changement climatique".
* Plus le pouvoir réfléchissant d'un corps est élevé plus son albédo (0 à 1) est élevé. Il est maximum (1) pour la neige, la glace, la couleur blanche alors que la terre nue ou la forêt, les océans, ont un albédo inférieur.
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